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La France se lance avec retard dans la télémédecine et les télé-examens. Mais rappelant l'importance de l'examen clinique et la crainte d'erreurs médicales, la ministre Agnès Buzyn rappelle que tout, bien sûr, ne se prêtera pas à la télémédecine."Je suis convaincue que la télémédecine est un outil formidable, mais aussi qu'il peut y avoir des risques. J'ai donc saisi la Haute Autorité de santé pour qu'elle fasse des recommandations sur cette pratique", a-t-elle précisé à la presse française et notamment Le Figaro. La HAS (Haute autorité de santé) prépare des lignes de conduite. "Plutôt que de lister toutes les pathologies où la télémédecine s'applique, nous allons définir les cas où elle n'est pas adaptée", a indiqué le Dr Marie-Hélène Rodde Dunet, à la HAS, des propos toujours recueillis par Le Figaro.