Et des difficultés d'accès aux soins de santé se posent aux extrémités est et ouest de la province. La Mutualité chrétienne craint que les mesures d'économie imposées actuellement accentuent encore les inégalités sociales de santé.

Selon l'OMS, la santé est un état complet de bien-être physique, mental et social. En analysant ces trois critères, la Mutualité chrétienne constate qu'ils sont meilleurs en Brabant wallon qu'ailleurs en Région wallonne, mais des écarts importants sont enregistrés au sein de la Province, par exemple pour le taux de maladies chroniques, de prévalence du diabète ou de consommation d'antidépresseurs. Dans le même temps, les Brabançons wallons ne vont pas plus chez le généraliste que leurs concitoyens wallons, et fréquentent moins les urgences.

En revanche, la population du Brabant wallon est plus réceptive aux programmes de prévention mais là aussi, il y a d'importantes disparités géographiques. "La santé suit un gradient social: là où existent des zones de précarité, les difficultés de santé sont plus importantes", indiquent les auteurs de l'étude. Ils craignent par ailleurs que les économies imposées en matière de soins de santé accentuent les disparités.

La presse régionale (La Capitale) est revenue quant à elle sur l'analyse de fréquentation des généralistes et des spécialistes.

Côté généralistes, "l'Est de la province reste la zone la plus fréquentée. C'est le cas de Villers-la-Ville, Chastre, Mont-Saint-Guibert, Walhain, Perwez, Incourt, Jodoigne, Grez-Doiceau, Beauvechain ou encore Hélécine". En revanche les spécialistes sont plus demandés à l'Ouest, dans des communes comme Ittre, Braine-le-Château, Braine-l'Alleud, Waterloo, La Hulpe, Lasne et Rixensart".

Ceci étant influencé par l'offre d'hôpitaux bien entendu : Nivelles, Tubize et Braine-l'Alleud disposant d'infrastructures.

La Mutualité chrétienne brabançonne détaille également le nombre de patients par MG (858 en BW) mais avec des pointes fortes à Rebecq, Tubize, Braine-le-Château, Villers-la-Ville et Court-Saint-Etienne.

Et des difficultés d'accès aux soins de santé se posent aux extrémités est et ouest de la province. La Mutualité chrétienne craint que les mesures d'économie imposées actuellement accentuent encore les inégalités sociales de santé.Selon l'OMS, la santé est un état complet de bien-être physique, mental et social. En analysant ces trois critères, la Mutualité chrétienne constate qu'ils sont meilleurs en Brabant wallon qu'ailleurs en Région wallonne, mais des écarts importants sont enregistrés au sein de la Province, par exemple pour le taux de maladies chroniques, de prévalence du diabète ou de consommation d'antidépresseurs. Dans le même temps, les Brabançons wallons ne vont pas plus chez le généraliste que leurs concitoyens wallons, et fréquentent moins les urgences.En revanche, la population du Brabant wallon est plus réceptive aux programmes de prévention mais là aussi, il y a d'importantes disparités géographiques. "La santé suit un gradient social: là où existent des zones de précarité, les difficultés de santé sont plus importantes", indiquent les auteurs de l'étude. Ils craignent par ailleurs que les économies imposées en matière de soins de santé accentuent les disparités.La presse régionale (La Capitale) est revenue quant à elle sur l'analyse de fréquentation des généralistes et des spécialistes.Côté généralistes, "l'Est de la province reste la zone la plus fréquentée. C'est le cas de Villers-la-Ville, Chastre, Mont-Saint-Guibert, Walhain, Perwez, Incourt, Jodoigne, Grez-Doiceau, Beauvechain ou encore Hélécine". En revanche les spécialistes sont plus demandés à l'Ouest, dans des communes comme Ittre, Braine-le-Château, Braine-l'Alleud, Waterloo, La Hulpe, Lasne et Rixensart". Ceci étant influencé par l'offre d'hôpitaux bien entendu : Nivelles, Tubize et Braine-l'Alleud disposant d'infrastructures.La Mutualité chrétienne brabançonne détaille également le nombre de patients par MG (858 en BW) mais avec des pointes fortes à Rebecq, Tubize, Braine-le-Château, Villers-la-Ville et Court-Saint-Etienne.