Ahmadreza Djalali est emprisonné depuis déjà deux ans et demi et sa condamnation à mort peut être exécutée à tout moment. "C'est très difficile psychologiquement", ajoute Gerlant Van Berlaer. "En raison de la guerre commerciale avec les Etats-Unis, l'Europe reste un important partenaire commercial pour l'Iran et cela joue un rôle" dans le report de l'exécution de la peine, estime-t-il.

"Ahmadreza a droit à un bref appel une fois par jour. La plupart du temps, il est pour son épouse, parfois pour ses avocats. Mais hier, il m'a appelé. Il m'a dit qu'il ne pesait plus que 50 kg."

"Il souffre de l'estomac et des intestins, d'une éruption cutanée ainsi que de douleurs à l'oeil gauche et d'une hernie inguinale. On lui a promis la visite d'un médecin depuis des mois mais il ne l'a pas encore vu. En tant que médecin, il est très inquiet. Et puis il y a l'incertitude."

Il existe cependant une lueur d'espoir, ajoute son ex-collègue. "L'Anglo-iranien Nazanin Zaghari-Ratcliffe, qui se trouve en prison en Iran depuis cinq ans pour des faits similaires, a récemment obtenu un congé pénitentiaire de trois jours pour voir ses enfants."

La marche est une initiative des étudiants. Ils se rassembleront le 10 octobre sur le campus de la VUB à Ixelles pour rejoindre vers 18h30 l'ambassade d'Iran.

Ahmadreza Djalali est emprisonné depuis déjà deux ans et demi et sa condamnation à mort peut être exécutée à tout moment. "C'est très difficile psychologiquement", ajoute Gerlant Van Berlaer. "En raison de la guerre commerciale avec les Etats-Unis, l'Europe reste un important partenaire commercial pour l'Iran et cela joue un rôle" dans le report de l'exécution de la peine, estime-t-il. "Ahmadreza a droit à un bref appel une fois par jour. La plupart du temps, il est pour son épouse, parfois pour ses avocats. Mais hier, il m'a appelé. Il m'a dit qu'il ne pesait plus que 50 kg." "Il souffre de l'estomac et des intestins, d'une éruption cutanée ainsi que de douleurs à l'oeil gauche et d'une hernie inguinale. On lui a promis la visite d'un médecin depuis des mois mais il ne l'a pas encore vu. En tant que médecin, il est très inquiet. Et puis il y a l'incertitude." Il existe cependant une lueur d'espoir, ajoute son ex-collègue. "L'Anglo-iranien Nazanin Zaghari-Ratcliffe, qui se trouve en prison en Iran depuis cinq ans pour des faits similaires, a récemment obtenu un congé pénitentiaire de trois jours pour voir ses enfants." La marche est une initiative des étudiants. Ils se rassembleront le 10 octobre sur le campus de la VUB à Ixelles pour rejoindre vers 18h30 l'ambassade d'Iran.