"Nos produits sont destinés aux femmes, aux hommes et aux couples qui souhaitent améliorer leur vie sexuelle et rendre leurs ébats plus agréables ", explique l'entreprise américaine sur son site web. " Nos produits ont l'intention de servir ceux qui sont prêts à s'aventurer en dehors des frontières sexuelles normales tout en conservant un sentiment d'intimité. Notre objectif est de devenir reconnu comme éducateurs sexuels, tout en créant un forum ouvert. Nous voulons que les gens se sentent à l'aise de parler de leurs désirs, de leurs besoins et de leur plaisir, peu importe leur âge, leur sexe, leur race ou leurs préférences sexuelles. "

Comment ? Et bien par un édulcorant, un produit " révolutionnaire " sous forme de gélules à ingérer (39,95 dollars la boîte), qui " vise à rendre les sécrétions sexuelles de votre partenaire et de vous-même absolument délicieuses et à apporter votre satisfaction sexuelle et votre performance à de nouveaux sommets incroyables. " On n'arrête pas le progrès. Au menu, des saveurs telles qu'ananas, banane, myrtille, mais aussi cannelle et baie d'açaï. Pourquoi pas, finalement ?

Il n'en fallait pas plus que la presse québécoise s'empare de l'information. " Ce n'était déjà pas assez de nous dicter la teneur d'une coupe bikini acceptable pour le garden party, de propager l'odieuse rumeur selon laquelle nos petites lèvres ne devraient jamais dépasser du casseau, voilà qu'on s'attaque à sa saveur ! ", s'exclame Catherine Éthier, chroniqueuse de l'émission Gravel le matin, sur ICI Radio-Canada Première.

Le pire dans l'histoire, c'est peut-être qu'une étude de marché a révélé que ce type de produits avait une clientèle potentielle. Aux hommes de bien se tenir : ils seront peut-être amenés, demain, à devoir eux aussi garantir un goût " semi-fruité " et une odeur sensuelle de leur membre à leur partenaire sexuel(le).

Heureusement, la société précise que " ces déclarations n'ont pas été évaluées par la Food and Drug Administration. Ce produit n'est pas conçu pour diagnostiquer, traiter, guérir ou prévenir une maladie. "

"Nos produits sont destinés aux femmes, aux hommes et aux couples qui souhaitent améliorer leur vie sexuelle et rendre leurs ébats plus agréables ", explique l'entreprise américaine sur son site web. " Nos produits ont l'intention de servir ceux qui sont prêts à s'aventurer en dehors des frontières sexuelles normales tout en conservant un sentiment d'intimité. Notre objectif est de devenir reconnu comme éducateurs sexuels, tout en créant un forum ouvert. Nous voulons que les gens se sentent à l'aise de parler de leurs désirs, de leurs besoins et de leur plaisir, peu importe leur âge, leur sexe, leur race ou leurs préférences sexuelles. "Comment ? Et bien par un édulcorant, un produit " révolutionnaire " sous forme de gélules à ingérer (39,95 dollars la boîte), qui " vise à rendre les sécrétions sexuelles de votre partenaire et de vous-même absolument délicieuses et à apporter votre satisfaction sexuelle et votre performance à de nouveaux sommets incroyables. " On n'arrête pas le progrès. Au menu, des saveurs telles qu'ananas, banane, myrtille, mais aussi cannelle et baie d'açaï. Pourquoi pas, finalement ?Il n'en fallait pas plus que la presse québécoise s'empare de l'information. " Ce n'était déjà pas assez de nous dicter la teneur d'une coupe bikini acceptable pour le garden party, de propager l'odieuse rumeur selon laquelle nos petites lèvres ne devraient jamais dépasser du casseau, voilà qu'on s'attaque à sa saveur ! ", s'exclame Catherine Éthier, chroniqueuse de l'émission Gravel le matin, sur ICI Radio-Canada Première.Le pire dans l'histoire, c'est peut-être qu'une étude de marché a révélé que ce type de produits avait une clientèle potentielle. Aux hommes de bien se tenir : ils seront peut-être amenés, demain, à devoir eux aussi garantir un goût " semi-fruité " et une odeur sensuelle de leur membre à leur partenaire sexuel(le).Heureusement, la société précise que " ces déclarations n'ont pas été évaluées par la Food and Drug Administration. Ce produit n'est pas conçu pour diagnostiquer, traiter, guérir ou prévenir une maladie. "