Ces médicaments n'étaient précédemment remboursés qu'à un stade avancé de la maladie mais l'Institut National de l'Assurance Maladie-Invalidité (INAMI) et les producteurs de médicaments ont signé un accord afin d'élargir ce remboursement. En s'attaquant plus tôt à l'hépatite C, il est possible d'éviter qu'elle ne devienne chronique et que les lésions ne soient permanentes.

Environ 1.100 patients bénéficient déjà du remboursement des médicaments contre l'hépatite C. Grâce à l'élargissement du remboursement à la phase initiale de la maladie, un millier de patients devraient s'ajouter à ce nombre en 2019. Le traitement dure en général environ trois mois. Un premier test sanguin est effectué pour contrôler l'absence du virus trois mois après la fin du traitement antiviral. Un test définitif devra confirmer que le virus n'est plus détectable douze mois après le traitement.

Quelque 70.000 Belges sont porteurs du virus et seule la moitié d'entre eux en est consciente.

Pour rappel, le virus se transmet essentiellement par le sang ou des produits sanguins infectés, lors d'une injection de drogues par voie intraveineuse, d'une transfusion de sang non contrôlé ou de rapports sexuels non protégés.

Ces médicaments n'étaient précédemment remboursés qu'à un stade avancé de la maladie mais l'Institut National de l'Assurance Maladie-Invalidité (INAMI) et les producteurs de médicaments ont signé un accord afin d'élargir ce remboursement. En s'attaquant plus tôt à l'hépatite C, il est possible d'éviter qu'elle ne devienne chronique et que les lésions ne soient permanentes. Environ 1.100 patients bénéficient déjà du remboursement des médicaments contre l'hépatite C. Grâce à l'élargissement du remboursement à la phase initiale de la maladie, un millier de patients devraient s'ajouter à ce nombre en 2019. Le traitement dure en général environ trois mois. Un premier test sanguin est effectué pour contrôler l'absence du virus trois mois après la fin du traitement antiviral. Un test définitif devra confirmer que le virus n'est plus détectable douze mois après le traitement.Quelque 70.000 Belges sont porteurs du virus et seule la moitié d'entre eux en est consciente. Pour rappel, le virus se transmet essentiellement par le sang ou des produits sanguins infectés, lors d'une injection de drogues par voie intraveineuse, d'une transfusion de sang non contrôlé ou de rapports sexuels non protégés.