Aujourd'hui, sortant de la réserve qui nous caractérise, nous poussons un coup de gueule. Trop, c'est trop !

Nous nous devons de contrer la malhonnêteté intellectuelle de nos adversaires qui jettent de la poudre aux yeux de la médecine générale pour mieux l'aliéner dans un concept qui fait fureur aujourd'hui : " l'évaporation des lignes de soins ". Car, ce à quoi nous assistons depuis des années, c'est au grignotage insidieux du terrain des soins primaires sous les assauts de lobbies spécialistes ou hospitaliers proches de l'Absym. On l'a vu avec le projet Psy 107 ou la diabétologie.

Pour ce scrutin, nos adversaires absymistes soignent leur communication vers les MG. De fait, ils les abreuvent jusqu'à plus soif de promesses séduisantes vantant leur rôle central et la nécessité de défendre leur beau métier en reprenant à leur compte, au passage, les thèmes qui sont les nôtres depuis toujours.

Ils seraient bien en peine de montrer comment et en quoi, auparavant, ils ont oeuvré pour la MG. Dans les faits, leur mépris pour le rôle central de la médecine générale est abyssal (ABSyMal ? ). Leur absence même aux réunions concernant spécifiquement la profession (entre autres, la réforme de la garde) trahit leur désinvestissement pour sa défense...

Quant à AADM, (Alliance pour l'Avenir des Médecins en français et Alliantie Atrsenbelang-Domus Medica en néerlandais ! ), le mouvement mono-disciplinaire généraliste flamand issu de Domus Medica qui vous promet le changement, le GBO-Cartel ne l'a pas vu, en quatre années de négociations, manifester le moindre intérêt pour la cause francophone au contraire de notre fidèle partenaire au sein du Cartel, l'Algemeen Syndicaat van Geneeskundigen van België (ASGB).

Au contraire de l'Absym, au GBO-Cartel, nous n'avons pas à l'approche du scrutin mis en branle une machine de guerre marketing, un rouleau compresseur de propagande. Nous nous appuyons plutôt sur des MG dévoués qui, dans le long terme, travaillent d'arrache-pied à défendre les dossiers les plus chauds à l'Inami et au SPF Santé publique, entre autres.

Couverture en PMG

La couverture quasi intégrale du sud du pays en PMG, synonymes d'allégement des conditions de travail, est un exemple d'acquis engrangés grâce à ce travail acharné. Le GBO-Cartel s'est heurté, dans ce dossier, à des trésors de manoeuvres et de mauvaise foi, à des agendas cachés. Avec, dans cet environnement hostile aux MG, l'absence assourdissante de soutien de l'Absym - quand ses émissaires étaient là. Et avec sa minimisation, aussi, de la problématique de la pénurie en généralistes.

Son combat pour les MG, le GBO-Cartel le mène pied à pied auprès des mutuelles, à l'Inami, dans les couloirs du Parlement, au ministère de la Santé... toujours à l'écoute des cercles et en symbiose avec ceux-ci. Sa particularité : il privilégie l'investissement maximal dans la gestion des dossiers, la force de conviction. Dans d'autres dossiers abordés en médico-mut, c'est avec détermination et à contrecourant qu'il a pu, a dû, arracher un accord de ses interlocuteurs absymistes. Il en va ainsi, par exemple, de la reconnaissance et du financement des cercles, de la création du DMG, des honoraires de disponibilité ou des Impulseo.

Aujourd'hui, l'Absym s'attribue la paternité de ces avancées ! S'il leur manque la mémoire et la probité, ils font preuve d'un " remarquable " culot.

Ne votez pas pour nous si vous préférez les slogans au travail de fond. Le GBO-Cartel a confiance dans votre discernement.

Aujourd'hui, sortant de la réserve qui nous caractérise, nous poussons un coup de gueule. Trop, c'est trop !Nous nous devons de contrer la malhonnêteté intellectuelle de nos adversaires qui jettent de la poudre aux yeux de la médecine générale pour mieux l'aliéner dans un concept qui fait fureur aujourd'hui : " l'évaporation des lignes de soins ". Car, ce à quoi nous assistons depuis des années, c'est au grignotage insidieux du terrain des soins primaires sous les assauts de lobbies spécialistes ou hospitaliers proches de l'Absym. On l'a vu avec le projet Psy 107 ou la diabétologie.Pour ce scrutin, nos adversaires absymistes soignent leur communication vers les MG. De fait, ils les abreuvent jusqu'à plus soif de promesses séduisantes vantant leur rôle central et la nécessité de défendre leur beau métier en reprenant à leur compte, au passage, les thèmes qui sont les nôtres depuis toujours.Ils seraient bien en peine de montrer comment et en quoi, auparavant, ils ont oeuvré pour la MG. Dans les faits, leur mépris pour le rôle central de la médecine générale est abyssal (ABSyMal ? ). Leur absence même aux réunions concernant spécifiquement la profession (entre autres, la réforme de la garde) trahit leur désinvestissement pour sa défense...Quant à AADM, (Alliance pour l'Avenir des Médecins en français et Alliantie Atrsenbelang-Domus Medica en néerlandais ! ), le mouvement mono-disciplinaire généraliste flamand issu de Domus Medica qui vous promet le changement, le GBO-Cartel ne l'a pas vu, en quatre années de négociations, manifester le moindre intérêt pour la cause francophone au contraire de notre fidèle partenaire au sein du Cartel, l'Algemeen Syndicaat van Geneeskundigen van België (ASGB).Au contraire de l'Absym, au GBO-Cartel, nous n'avons pas à l'approche du scrutin mis en branle une machine de guerre marketing, un rouleau compresseur de propagande. Nous nous appuyons plutôt sur des MG dévoués qui, dans le long terme, travaillent d'arrache-pied à défendre les dossiers les plus chauds à l'Inami et au SPF Santé publique, entre autres.La couverture quasi intégrale du sud du pays en PMG, synonymes d'allégement des conditions de travail, est un exemple d'acquis engrangés grâce à ce travail acharné. Le GBO-Cartel s'est heurté, dans ce dossier, à des trésors de manoeuvres et de mauvaise foi, à des agendas cachés. Avec, dans cet environnement hostile aux MG, l'absence assourdissante de soutien de l'Absym - quand ses émissaires étaient là. Et avec sa minimisation, aussi, de la problématique de la pénurie en généralistes.Son combat pour les MG, le GBO-Cartel le mène pied à pied auprès des mutuelles, à l'Inami, dans les couloirs du Parlement, au ministère de la Santé... toujours à l'écoute des cercles et en symbiose avec ceux-ci. Sa particularité : il privilégie l'investissement maximal dans la gestion des dossiers, la force de conviction. Dans d'autres dossiers abordés en médico-mut, c'est avec détermination et à contrecourant qu'il a pu, a dû, arracher un accord de ses interlocuteurs absymistes. Il en va ainsi, par exemple, de la reconnaissance et du financement des cercles, de la création du DMG, des honoraires de disponibilité ou des Impulseo.Aujourd'hui, l'Absym s'attribue la paternité de ces avancées ! S'il leur manque la mémoire et la probité, ils font preuve d'un " remarquable " culot.Ne votez pas pour nous si vous préférez les slogans au travail de fond. Le GBO-Cartel a confiance dans votre discernement.