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L'accord entre les médecins et les mutuelles stipule qu'un nouveau financement pour les postes de garde doit faire partie d'un nouveau plan pour l'avenir. Celui-ci devait être approuvée pour le 31 octobre au plus tard. La médicomut a déjà rejeté un premier projet de texte en septembre. Le nouveau texte a également été jugé inapplicable par les syndicats médicaux le 12 novembre. Mais si l'Unité Interadministrative - IAC, ainsi nommée parce qu'elle est composée de représentants de l'Inami et du SPF Santé Publique - ne peut pas encore présenter un plan réaliste pour l'avenir, que va-t-il arriver aux postes de garde en 2019 ?" Les règles de financement que nous avons établies avec la normalisation sont maintenant inadéquates. Certains cercles ont besoin d'aide pour faire fonctionner leur poste de garde. Cela ne peut pas être l'intention ", explique le Dr Hueting. Selon lui, il y a cette semaine au sein de l'Inami de nouvelles consultations - en petit comité - pour voir comment les choses devraient se passer pour 2019. Au sein de l'IAC, les deux coordinateurs régionaux de l'Inami - pour les deux grandes régions du pays - peuvent combler les déficits structurels du financement et proposer des ajustements. "Mais ces ajustements ne sont pas là en un temps trois mouvements."Pendant ce temps, l'IAC est aux prises avec la question de savoir comment financer le futur paysage des gardes en Belgique. " Ce problème a été induit par le gouvernement lui-même quand, à la fin de 2015, il a gelé les dépenses pour les postes de garde et a pris les 5,25 derniers millions d'euros ", s'offusque Hueting. " Elle s'attend maintenant à pouvoir réinvestir les honoraires de disponibilité des médecins généralistes par la mise en place de partenariats pour les postes de garde. Mais il n'est pas envisageable que celles-ci soient en place le 1er décembre 2019, alors que les textes juridiques doivent encore être rédigés. "Des partenariats peuvent également être établis avec des régions où il n'y a pas encore de poste de garde. "Mais assurer la permanence au milieu de la nuit avec quatre médecins généralistes pour une zone de 300.000 habitants n'est possible que si la coopération avec les urgences et le triage est également généralisée dans l'intervalle. Vous ne pouvez pas le prouver si les cabinets de médecins généralistes sont toujours confrontés à des problèmes vraiment urgents, comme une crise cardiaque présumée. "L'IAC doit donc remettre tout en ordre. Entre-temps, M. Hueting continue de dénoncer le fait que ces discussions techniques aboutissent à la Commission nationale. "La plate-forme de guidage n'est pas l'endroit pour le faire, et le groupe de travail 'postes de travail " a été bêtement supprimé."