Une étude montre que chez les souris castrées et chez les personnes suivant un traitement de privation androgénique, certaines bactéries intestinales communes produisent des androgènes qui sont facilement absorbés dans la circulation sanguine. Ces androgènes favoriseraient la croissance du cancer de la prostate et sa résistance à l'hormonothérapie.

Des scientifiques gantois ont établi un lien potentiel entre l'alimentation et la gravité d'une infection au SARS-CoV-2. La majorité des patients qui finissent par tomber gravement malades ou même par mourir à l'hôpital présentent une carence nutritionnelle importante en sélénium et en zinc dans leur sang au moment de l'admission.

Un nouveau symptôme associé à la Covid-19 vient peut-être d'être découvert : il s'agit du syndrome de l'anus sans repos. S'apparentant au syndrome des jambes sans repos, la gêne anale aurait été provoquée par un dysfonctionnement du système nerveux central. Le cas est unique pour l'instant.

Un régime alimentaire caractérisé par des aliments sains à base de plantes est associé à un risque plus faible de contracter le Covid-19, et, pour les personnes infectées par le SARS-CoV-2, de développer une forme sévère. Un constat particulièrement pertinent dans des zones de forte privation socio-économique.

Substituer des glucides ou des protéines animales de mauvaise qualité par des glucides ou des protéines végétales de haute qualité lors du repas du soir, voilà la recette pour prendre soin de son coeur et réduire le risque de maladie cardiovasculaire.

Selon une étude chinoise, le coucher tardif et le sommeil nocturne court sont associés à un risque accru d'obésité générale et abdominale, tandis qu'une sieste plus longue pendant la journée ne permet pas de compenser cet effet négatif de nuits trop courtes, mais augmente encore le risque d'obésité abdominale, en particulier chez les femmes.

La plus grande étude du genre révèle que les personnes en surpoids ou obèses qui boivent de l'alcool amplifient considérablement l'effet nocif de l'alcool sur l'incidence des maladies du foie et la mortalité. Une conclusion qui incite à la frugalité et à la sobriété.

Consommer deux portions de poisson gras deux fois par semaine diminuerait d'environ un sixième le risque de problème cardiovasculaire majeur chez les personnes à haut risque, comme celles qui ont fait une crise cardiaque ou un AVC par le passé. C'est la présence d'oméga-3 dans ces poissons qui apporterait cet effet préventif.

Selon une étude américano-égyptienne, plus une personne est sensible à l'amertume des aliments, moins elle est susceptible de contracter la Covid-19 comparativement aux personnes qui n'y sont pas aussi sensibles, et moins elle coure le risque de se retrouver hospitalisée après avoir attrapé la maladie, ce qui suggère une protection immunitaire innée améliorée contre le SARS-CoV-2.

Des chercheurs ont identifié de multiples corrélations entre les traits des individus et les génomes de leurs partenaires, et ont conclu qu'au moins un quart de ces associations étaient en partie causales, l'ADN d'une personne ayant des effets indirects sur la santé ou le mode de vie du conjoint.