Tout sur Didier Gosuin

Afin de réduire les inégalités de santé, le ministre Gosuin estime qu'il est essentiel d'intégrer la santé dans toutes les politiques menées en Région bruxelloise. C'est un des fils rouges du premier Plan santé bruxellois (PSB).

Au grand complet, les ministres bruxellois Vervoort, Vanhengel, Gosuin, Smet et Fremault ont annoncé ce 14 mai la mise en route opérationnelle de l'organisme d'intérêt public (OPI) bicommunautaire Iriscare.

Qui sont les médecins généralistes bruxellois, où pratiquent-ils et où se situent les potentielles pénuries ? Autant de questions cruciales auxquelles l'Observatoire de la santé et du social répond. Cette cartographie inédite de la réalité bruxelloise, réalisée en étroite collaboration avec la FAMGB et le BHAK, devrait permettre aux ministres Gosuin et Vanhengel de cibler au mieux les mesures de soutien à la médecine générale.

Alors qu'il met la dernière main à son plan santé, Didier Gosuin (Défi), ministre en charge de la Santé pour la Cocom (commission communautaire commune, Région bruxelloise) explique la politique qu'il va mettre en place en santé mentale dans la capitale suite au Livre noir de la FAMGB publié la semaine passée. Priorité aux réseaux et à la multidisciplinarité. Mais le manque historique de lits psychiatriques ne lui facilite pas la tâche. Il regrette le mille-feuille à la Belge qui morcelle les politiques de santé.

Le Dr Catherine Moureaux, cheffe de file du PS bruxellois au parlement idoine et le ministre Didier Gosuin (Défi) tirent la sonnette d'alarme dans La Dernière Heure. Si on ne peut pas parler de pénurie de MG à Bruxelles, Molenbeek et Schaerbeek en manquent cruellement. Et la population médicale bruxelloise vieillit.

Le nouvel hôpital Delta à Auderghem a été officiellement inauguré samedi en présence de la ministre de la Santé publique Maggie De Block (Open Vld), du vice-Premier ministre Didier Reynders (MR) et des ministres bruxellois Guy Vanhengel (Open Vld) et Didier Gosuin (Défi). De nombreux représentants du secteur hospitalier étaient également présents à cette cérémonie d'ouverture.

Les aléas de la politique francophone qui sont largement répercutés au nord du pays (à savoir : un nouvel attelage MR-CDH en Région wallonne et toujours pas de majorité en Communauté française ni à Bruxelles) ne plaident pas en faveur de la complexité institutionnelle de notre beau et compliqué pays, même si, avouons-le, les choses sont un peu plus simples en Flandre.

A l'occasion de la Semaine e-santé à Bruxelles, organisée du 24 au 28 avril, les ministres en charge de la Santé, Didier Gosuin et Guy Vanhengel, ont présenté ce mercredi leur politique pour le déploiement de l'e-santé en Région bruxelloise. Six chantiers prioritaires devraient être concrétisés entre 2017 et 2019.

Souillé depuis des mois par des accusations de manoeuvres douteuses, le conseil d'administration de Brugmann a malgré tout licencié sa directrice générale médicale la semaine dernière. Les circonstances forcent le Dr Hut à attaquer le CHU en justice. Tandis qu'à première vue, les principaux responsables, plus politisés qu'hospitaliers, semblent hors de portée. Récit.

Le ministre Didier Gosuin a été invité - une première pour un membre de l'Exécutif bruxellois - à la présentation vendredi matin de l'étude Maha sur les finances des hôpitaux belges, 15e du genre. Le ministre Défi a notamment détaillé "les surprises désagréables" découvertes par les autorités bruxelloises, héritières de la 6e Réforme de l'Etat.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).